Court-métrages du Liban

« Kahwat al kazaz » (« Le café de verre »)

de Danielle Davie / 2007 / 13′ /

 

Le film décrit le quotidien d’un café populaire de Beit-Méri au Liban. C’est un travail filmique qui joue avec les gestes répétitifs de Najji et Hassoun, le patron et le serveur, qui sont aux petits soins de leurs habitués. Il s’agit de mener le spectateur dans une routine possible et évidente, celle du café…

 

Voir le film en ligne

 

« Yet another shot » (« Encore un autre tir »)

de Kinda Hassan / 2005 / 5′ /

 

Combien de fois doit-on regarder cette même scène se répéter ? Quand est-ce qu’une catastrophe en sera réellement une ?

 

Voir le film sur son site

 

« Dancing was the only way of avoiding deafness « 

(« Danser était la seule façon d´éviter la surdité »)

de Anthony Abou Khalifé et Jean-Noël Aoun /2006 / 5′/

 

La nuit, dans une rue de Beyrouth. La caméra filme en temps réel un homme qui danse seul sur la chaussée. Précise, elle indique la date, le 12 juillet 2006 : c’est le début de la guerre.

 

« Temps morts » de Sirine Fattouth / 2005/ 11′ /

 

« Temps morts  » est une vidéo qui met en valeur le rapport du temps passé-présent à travers le travail de mémoire dans un contexte particulier. Il s’agit d’un homme Libanais ayant tout perdu pendant la guerre et qui est dans l’impossibilité de parler de son passé. Cette vidéo cherche à travers cette histoire à rejoindre un questionnement plus large, celui de la grande Histoire.

 

Son site.

 

« Fiers de notre identité  » de Walid Abdelnour »


Court métrage qui dénonce le manque de mauvaise conscience et de devoir de mémoire de la jeunesse chrétienne Libanaise sur la responsabilité de ses anciens dans les massacres envers les palestiniens pendant la guerre civile de 75-90. Cela traite surtout du massacre de Sabra et Chatila, orchestré par les Israeliens et executé par l’extrême droite chrétienne libanaise.